un magazine web axé sur la culture d’ici

Stromae enflamme le Centre Bell

Une bête de scène à vous couper le souffle

Stromae_TimSnow_20140617-7

©Tim Snow/evenko

Équipe de Rédaction

C’est hier soir que Stromae à foulé les planches du Centre Bell dans le cadre des Francofolies devant une foule en délire et projection futuriste à l’appui. C’est parmi un public impatient et survolté que celui-ci a su faire vibrer les oreilles de jeunes et moins jeunes venu apprécier cette méga-star Belge. Après avoir vu ce spectacle, on ne peu que constater sa plume unique et qu’il est une bête de scène digne des plus grands de la musique. L’artiste n’était même pas encore sur scène que la foule hurlait déjà à de très hauts décibels. C’est avec sa chanson « Ta Fête » que Stromae a entamé la soirée suivant par la suite ses nombreux succès. Il était beau de voir le public chanter tout au long de la soirée et danser par moment. Nous avons eu droit à un Stromae en grande forme et à noter qu’il a dansé du début jusqu’à la toute fin. Celui-ci sautillait d’un côté à l’autre de la scène avec tellement d’énergie qu’il a failli en perdre pied à plusieurs moments.

Stromae_TimSnow_20140617-4

©Tim Snow/evenko

L’artiste a su tout au long développer une complicité nous emportant dans son monde unique et parfois déjanté. Après avoir vu ce spectacle, on comprend beaucoup mieux le sens de ses chansons. Les projections multimédias étaient juste bien dosées voir hypnotisante par moment. Cette soirée fut un succès sur toute la ligne. Après Montréal, Stromae s’attaquera au marché américain dans les prochains mois. Bref, Stromae à voir et à revoir! Le chanteur arrivera-t-il à conquérir les Américains? À suivre…

IMG_3747

©Véronyc Vachon/MatTv.ca

C’est le québécois Karim Ouellet qui a assuré la première partie, disons à la hauteur de cette soirée. Au lendemain de sa prestation sur la place des Festivals, il a su réchauffer la salle par son aisance sur scène et son grand talent. Bref un artiste chaleureux, simple et convivial.

Crédit photo: ©Tim Snow/evenko